Le FERR rencontre l’assurance-vie conjointe payable au dernier décès
L’un des avantages fiscaux que le gouvernement accorde aux couples a lieu lorsque le premier conjoint décède. Le fonds enregistré de revenu de retraite (FERR) de cette personne peut être géré par le conjoint survivant sans qu’il y ait d’impôt à payer à ce moment-là. Ces fonds continuent donc de croître avec un report d’impôt.
Mais que se passe-t-il si le conjoint survivant ne fait que les retraits minimums requis de son FERR pendant toute sa retraite? Au décès de cette personne, elle pourrait se retrouver avec un FERR important, dont la valeur pourrait atteindre des centaines de milliers de dollars. Au taux marginal le plus élevé, la succession devra payer un impôt égal à environ la moitié de la valeur des actifs du FERR. Cela en laisse beaucoup moins pour les héritiers.
Voici l’assurance-vie conjointe payable au dernier décès
Une police d’assurance-vie conjointe payable au dernier décès est conçue pour les couples et ne verse le produit de l’assurance qu’au décès du second conjoint. Une telle police est généralement utilisée pour aider à compenser les impôts à payer par une succession. Le moment du versement répond aux besoins fiscaux, et c’est plus économique que deux polices individuelles.
Un couple souscrit une police d’assurance-vie conjointe payable au dernier décès lorsqu’il se rend compte que sa succession sera confrontée à une obligation fiscale importante. Ils choisissent un montant d’assurance qui compense l’impôt estimé afin que les héritiers puissent recevoir la valeur totale de la succession.
Planification conjointe
Cette stratégie n’est qu’une solution pour une situation donnée. Plusieurs méthodes sont disponibles pour gérer et utiliser un FERR important, et il existe diverses façons de minimiser l’effet de l’imposition sur les actifs de la succession. Nous travaillons toujours avec vous pour déterminer la stratégie la plus adaptée à votre situation.